Nos domaines de prédilection

dom_energie_50px

Énergie


L'optimisation de la consommation d'énergie dans un bâtiment représente aujourd'hui un très grand défi. En effet, la diversité des dispositifs augmente, tels que pompes à chaleur, convertisseurs photovoltaïque, chaudières, etc.) et la gestion des données relatives à l'énergie nécessite une prise en main adéquate de ces équipements. L'informatique embarquée permet d'innover dans ce domaine, en facilitant la coordination de la distribution d'énergie provenant de différentes sources, de façon à obtenir une utilisation rationnelle et optimisée de l'énergie, de collecter l'ensemble des données pertinentes, de les transmettre sur un serveur central, et d'offrir à l'utilisateur de nouvelles interfaces - via smartphone par exemple - pour y accéder. Ainsi, l'institut REDS joue un rôle central dans le développement de ces systèmes embarqués.


dom_securite_resize_50px

Sécurité


La sécurité est omniprésente dans notre société de l’information. Il y a de plus en plus de données privées qui circulent sur des réseaux publics nécessitant leur chiffrement. Les systèmes embarqués sont utilisés dans de nombreuses applications, qui sont parfois critiques. Nous pouvons citer les équipements médicaux, l’avionique, les systèmes d’accès, les applications bancaires, etc.  L’institut REDS veut contribuer à améliorer la sécurité des systèmes embarqués par ses nombreuses compétences et en réalisant des projets directement en lien avec ce domaine.


dom_sante_resize_50px

Santé


Le 21ème siècle est celui de la médecine personnalisée. Les appareils d'aide au diagnostic sont en train de se miniaturiser, pouvant ainsi se rapprocher du patient et les traitements vont également s'automatiser dans les années à venir. Dans ce contexte l'institut REDS s'investit dans des projets où la part d'informatique embarquée est de plus en plus importante. Les défis y sont multiples et vont de la construction d'un système embarqué à haute fiabilité à l'implémentation de modèles gourmands en termes de temps de calcul sur des dispositifs devant consommer le moins d'énergie possible, en passant par la transmission de données médicales sécurisées. En parallèle aux systèmes proches du patient, l'analyse et le stockage de données biologiques, qu'elles soient génomiques ou issues de divers capteurs, est un autre défi en termes de compression de données et de calcul intensif. Le REDS s'y investit en proposant des alternatives pour le calcul parallèle à haute performance.




dom_energie_50px

GridEye

mai 2, 2014, 16:02
Embedded solution for Smart Grid management
Page:
fa7e664f-169f-6184-b062-ff0000b5cb90
Select a choice:
Terminated
StartDate:
sept. 1, 2013, 00:00
EndDate:
déc. 31, 2015, 00:00

Aujourd’hui, dans de nombreux pays, on peut constater une augmentation croissante de la production décentralisée d’électricité. Ceci ayant pour causes principales : la volonté de sortir du nucléaire, l’augmentation de la demande en électricité et le développement croissant de l’injection de petites puissances (p.ex. photovoltaïque).

Cette nouvelle tendance, bien que positive, comporte aussi ses limites. En effet, le consommateur final, devenu à la fois producteur et utilisateur d’électricité, provoque l’apparition d’un flux d’énergie bidirectionnel qui emprunte une infrastructure qui n’a été ni conçue, ni dimensionnée, à l’origine, pour l’accueillir. L’injection d’électricité non contrôlée dans le réseau électrique basse tension (BT) par des sources renouvelables (EnR) est un facteur d’instabilité. De plus, la nature stochastique de la production des EnR, leur localisation géographique ainsi que leur capacité de production sont des paramètres variables qui ne font que compliquer le contrôle de cette infrastructure. Ce phénomène grandissant a déjà confronté l’Allemagne à quelques problèmes de stabilité sur ses réseaux BT.

Paradoxalement, une bonne coordination de ces différentes sources d’injection permettrait de mieux gérer les flux de puissances et d’avoir une meilleure surveillance quant à la qualité de l’électricité. La tendance générale est donc de se tourner vers des réseaux électriques intelligents, plus communément appelés SmartGrids.

axes:
  • Conception intégrale de systèmes embarqués
domaines-d-application:
  • Énergie
Tags:

dom_securite_resize_50px

GridEye

mai 2, 2014, 16:02
Embedded solution for Smart Grid management
Page:
fa7e664f-169f-6184-b062-ff0000b5cb90
Select a choice:
Terminated
StartDate:
sept. 1, 2013, 00:00
EndDate:
déc. 31, 2015, 00:00

Aujourd’hui, dans de nombreux pays, on peut constater une augmentation croissante de la production décentralisée d’électricité. Ceci ayant pour causes principales : la volonté de sortir du nucléaire, l’augmentation de la demande en électricité et le développement croissant de l’injection de petites puissances (p.ex. photovoltaïque).

Cette nouvelle tendance, bien que positive, comporte aussi ses limites. En effet, le consommateur final, devenu à la fois producteur et utilisateur d’électricité, provoque l’apparition d’un flux d’énergie bidirectionnel qui emprunte une infrastructure qui n’a été ni conçue, ni dimensionnée, à l’origine, pour l’accueillir. L’injection d’électricité non contrôlée dans le réseau électrique basse tension (BT) par des sources renouvelables (EnR) est un facteur d’instabilité. De plus, la nature stochastique de la production des EnR, leur localisation géographique ainsi que leur capacité de production sont des paramètres variables qui ne font que compliquer le contrôle de cette infrastructure. Ce phénomène grandissant a déjà confronté l’Allemagne à quelques problèmes de stabilité sur ses réseaux BT.

Paradoxalement, une bonne coordination de ces différentes sources d’injection permettrait de mieux gérer les flux de puissances et d’avoir une meilleure surveillance quant à la qualité de l’électricité. La tendance générale est donc de se tourner vers des réseaux électriques intelligents, plus communément appelés SmartGrids.

axes:
  • Conception intégrale de systèmes embarqués
domaines-d-application:
  • Énergie
Tags:

dom_sante_resize_50px

GridEye

mai 2, 2014, 16:02
Embedded solution for Smart Grid management
Page:
fa7e664f-169f-6184-b062-ff0000b5cb90
Select a choice:
Terminated
StartDate:
sept. 1, 2013, 00:00
EndDate:
déc. 31, 2015, 00:00

Aujourd’hui, dans de nombreux pays, on peut constater une augmentation croissante de la production décentralisée d’électricité. Ceci ayant pour causes principales : la volonté de sortir du nucléaire, l’augmentation de la demande en électricité et le développement croissant de l’injection de petites puissances (p.ex. photovoltaïque).

Cette nouvelle tendance, bien que positive, comporte aussi ses limites. En effet, le consommateur final, devenu à la fois producteur et utilisateur d’électricité, provoque l’apparition d’un flux d’énergie bidirectionnel qui emprunte une infrastructure qui n’a été ni conçue, ni dimensionnée, à l’origine, pour l’accueillir. L’injection d’électricité non contrôlée dans le réseau électrique basse tension (BT) par des sources renouvelables (EnR) est un facteur d’instabilité. De plus, la nature stochastique de la production des EnR, leur localisation géographique ainsi que leur capacité de production sont des paramètres variables qui ne font que compliquer le contrôle de cette infrastructure. Ce phénomène grandissant a déjà confronté l’Allemagne à quelques problèmes de stabilité sur ses réseaux BT.

Paradoxalement, une bonne coordination de ces différentes sources d’injection permettrait de mieux gérer les flux de puissances et d’avoir une meilleure surveillance quant à la qualité de l’électricité. La tendance générale est donc de se tourner vers des réseaux électriques intelligents, plus communément appelés SmartGrids.

axes:
  • Conception intégrale de systèmes embarqués
domaines-d-application:
  • Énergie
Tags:

Projets terminés

GridEye

mai 2, 2014, 16:02
Embedded solution for Smart Grid management
Page:
fa7e664f-169f-6184-b062-ff0000b5cb90
Select a choice:
Terminated
StartDate:
sept. 1, 2013, 00:00
EndDate:
déc. 31, 2015, 00:00

Aujourd’hui, dans de nombreux pays, on peut constater une augmentation croissante de la production décentralisée d’électricité. Ceci ayant pour causes principales : la volonté de sortir du nucléaire, l’augmentation de la demande en électricité et le développement croissant de l’injection de petites puissances (p.ex. photovoltaïque).

Cette nouvelle tendance, bien que positive, comporte aussi ses limites. En effet, le consommateur final, devenu à la fois producteur et utilisateur d’électricité, provoque l’apparition d’un flux d’énergie bidirectionnel qui emprunte une infrastructure qui n’a été ni conçue, ni dimensionnée, à l’origine, pour l’accueillir. L’injection d’électricité non contrôlée dans le réseau électrique basse tension (BT) par des sources renouvelables (EnR) est un facteur d’instabilité. De plus, la nature stochastique de la production des EnR, leur localisation géographique ainsi que leur capacité de production sont des paramètres variables qui ne font que compliquer le contrôle de cette infrastructure. Ce phénomène grandissant a déjà confronté l’Allemagne à quelques problèmes de stabilité sur ses réseaux BT.

Paradoxalement, une bonne coordination de ces différentes sources d’injection permettrait de mieux gérer les flux de puissances et d’avoir une meilleure surveillance quant à la qualité de l’électricité. La tendance générale est donc de se tourner vers des réseaux électriques intelligents, plus communément appelés SmartGrids.

axes:
  • Conception intégrale de systèmes embarqués
domaines-d-application:
  • Énergie
Tags:

Projets terminés

GridEye

mai 2, 2014, 16:02
Embedded solution for Smart Grid management
Page:
fa7e664f-169f-6184-b062-ff0000b5cb90
Select a choice:
Terminated
StartDate:
sept. 1, 2013, 00:00
EndDate:
déc. 31, 2015, 00:00

Aujourd’hui, dans de nombreux pays, on peut constater une augmentation croissante de la production décentralisée d’électricité. Ceci ayant pour causes principales : la volonté de sortir du nucléaire, l’augmentation de la demande en électricité et le développement croissant de l’injection de petites puissances (p.ex. photovoltaïque).

Cette nouvelle tendance, bien que positive, comporte aussi ses limites. En effet, le consommateur final, devenu à la fois producteur et utilisateur d’électricité, provoque l’apparition d’un flux d’énergie bidirectionnel qui emprunte une infrastructure qui n’a été ni conçue, ni dimensionnée, à l’origine, pour l’accueillir. L’injection d’électricité non contrôlée dans le réseau électrique basse tension (BT) par des sources renouvelables (EnR) est un facteur d’instabilité. De plus, la nature stochastique de la production des EnR, leur localisation géographique ainsi que leur capacité de production sont des paramètres variables qui ne font que compliquer le contrôle de cette infrastructure. Ce phénomène grandissant a déjà confronté l’Allemagne à quelques problèmes de stabilité sur ses réseaux BT.

Paradoxalement, une bonne coordination de ces différentes sources d’injection permettrait de mieux gérer les flux de puissances et d’avoir une meilleure surveillance quant à la qualité de l’électricité. La tendance générale est donc de se tourner vers des réseaux électriques intelligents, plus communément appelés SmartGrids.

axes:
  • Conception intégrale de systèmes embarqués
domaines-d-application:
  • Énergie
Tags:

Projets terminés

GridEye

mai 2, 2014, 16:02
Embedded solution for Smart Grid management
Page:
fa7e664f-169f-6184-b062-ff0000b5cb90
Select a choice:
Terminated
StartDate:
sept. 1, 2013, 00:00
EndDate:
déc. 31, 2015, 00:00

Aujourd’hui, dans de nombreux pays, on peut constater une augmentation croissante de la production décentralisée d’électricité. Ceci ayant pour causes principales : la volonté de sortir du nucléaire, l’augmentation de la demande en électricité et le développement croissant de l’injection de petites puissances (p.ex. photovoltaïque).

Cette nouvelle tendance, bien que positive, comporte aussi ses limites. En effet, le consommateur final, devenu à la fois producteur et utilisateur d’électricité, provoque l’apparition d’un flux d’énergie bidirectionnel qui emprunte une infrastructure qui n’a été ni conçue, ni dimensionnée, à l’origine, pour l’accueillir. L’injection d’électricité non contrôlée dans le réseau électrique basse tension (BT) par des sources renouvelables (EnR) est un facteur d’instabilité. De plus, la nature stochastique de la production des EnR, leur localisation géographique ainsi que leur capacité de production sont des paramètres variables qui ne font que compliquer le contrôle de cette infrastructure. Ce phénomène grandissant a déjà confronté l’Allemagne à quelques problèmes de stabilité sur ses réseaux BT.

Paradoxalement, une bonne coordination de ces différentes sources d’injection permettrait de mieux gérer les flux de puissances et d’avoir une meilleure surveillance quant à la qualité de l’électricité. La tendance générale est donc de se tourner vers des réseaux électriques intelligents, plus communément appelés SmartGrids.

axes:
  • Conception intégrale de systèmes embarqués
domaines-d-application:
  • Énergie
Tags:

Projets en cours dans d'autres domaines

Vous pouvez également consulter les projets en fonction de leur axe de développement.

GridEye

mai 2, 2014, 16:02
Embedded solution for Smart Grid management
Page:
fa7e664f-169f-6184-b062-ff0000b5cb90
Select a choice:
Terminated
StartDate:
sept. 1, 2013, 00:00
EndDate:
déc. 31, 2015, 00:00

Aujourd’hui, dans de nombreux pays, on peut constater une augmentation croissante de la production décentralisée d’électricité. Ceci ayant pour causes principales : la volonté de sortir du nucléaire, l’augmentation de la demande en électricité et le développement croissant de l’injection de petites puissances (p.ex. photovoltaïque).

Cette nouvelle tendance, bien que positive, comporte aussi ses limites. En effet, le consommateur final, devenu à la fois producteur et utilisateur d’électricité, provoque l’apparition d’un flux d’énergie bidirectionnel qui emprunte une infrastructure qui n’a été ni conçue, ni dimensionnée, à l’origine, pour l’accueillir. L’injection d’électricité non contrôlée dans le réseau électrique basse tension (BT) par des sources renouvelables (EnR) est un facteur d’instabilité. De plus, la nature stochastique de la production des EnR, leur localisation géographique ainsi que leur capacité de production sont des paramètres variables qui ne font que compliquer le contrôle de cette infrastructure. Ce phénomène grandissant a déjà confronté l’Allemagne à quelques problèmes de stabilité sur ses réseaux BT.

Paradoxalement, une bonne coordination de ces différentes sources d’injection permettrait de mieux gérer les flux de puissances et d’avoir une meilleure surveillance quant à la qualité de l’électricité. La tendance générale est donc de se tourner vers des réseaux électriques intelligents, plus communément appelés SmartGrids.

axes:
  • Conception intégrale de systèmes embarqués
domaines-d-application:
  • Énergie
Tags:

Projets terminés

GridEye

mai 2, 2014, 16:02
Embedded solution for Smart Grid management
Page:
fa7e664f-169f-6184-b062-ff0000b5cb90
Select a choice:
Terminated
StartDate:
sept. 1, 2013, 00:00
EndDate:
déc. 31, 2015, 00:00

Aujourd’hui, dans de nombreux pays, on peut constater une augmentation croissante de la production décentralisée d’électricité. Ceci ayant pour causes principales : la volonté de sortir du nucléaire, l’augmentation de la demande en électricité et le développement croissant de l’injection de petites puissances (p.ex. photovoltaïque).

Cette nouvelle tendance, bien que positive, comporte aussi ses limites. En effet, le consommateur final, devenu à la fois producteur et utilisateur d’électricité, provoque l’apparition d’un flux d’énergie bidirectionnel qui emprunte une infrastructure qui n’a été ni conçue, ni dimensionnée, à l’origine, pour l’accueillir. L’injection d’électricité non contrôlée dans le réseau électrique basse tension (BT) par des sources renouvelables (EnR) est un facteur d’instabilité. De plus, la nature stochastique de la production des EnR, leur localisation géographique ainsi que leur capacité de production sont des paramètres variables qui ne font que compliquer le contrôle de cette infrastructure. Ce phénomène grandissant a déjà confronté l’Allemagne à quelques problèmes de stabilité sur ses réseaux BT.

Paradoxalement, une bonne coordination de ces différentes sources d’injection permettrait de mieux gérer les flux de puissances et d’avoir une meilleure surveillance quant à la qualité de l’électricité. La tendance générale est donc de se tourner vers des réseaux électriques intelligents, plus communément appelés SmartGrids.

axes:
  • Conception intégrale de systèmes embarqués
domaines-d-application:
  • Énergie
Tags: